C'était un bon père ; un conseiller pour ses enfants, un homme courageux qui s'assuraitde sa responsabilité de père. Un homme sensible qui a toujours désiré que ses enfants soient unis. Au point de vue spirituel, il travaillait sans relâche dans le ministère. A cause de son ministère, il ne voulait pas résider dans un autre pays. Il ne voulait pas résider dans un pays et laisser ses brebis. Son départ m'a affectée, affolée et traumatisée. Je ne voulais pas y croire. Je pensais que la mort n'existait pas pour lui. Nous resterons unis malgré la distance qui nous sépare de lui. Il a toujours prôné le dialogue et nous allons suivre sa trace.
Lubérisse Théloude
Fille aînée
Propos recueillis par
Jérôme Dorsonne Emerson
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